Une des caractéristiques le plus remarquables des îlots est qu’il en existe de tout type… Il n’est pas un climat qui ne soit représenté sur au moins l’un de ces fragments de terre suspendus aux cieux… Mais rapidement un problème se présente : comment diable une tourbière pouvait-elle être autonome en terme de liquide a un endroit pareil ? Pire encore… Comment était-il possible que des rivières coulent sans cesse… a cinq cent mètres de haut. Pire encore… Comment une source chaude ou un volcan pouvait bien faire son apparition… là haut ?
A selon on n’apporte pas de réponse sûre… Car l’étude des îlots n’entre pas encore dans la catégorie des sciences certaines de part l’impossibilité d’effectuer des recherches sur le terrain.
Des hypothèses donc ? Il y a évidemment plusieurs cas… Et un nombre de supposition tout bonnement faramineux. Voilà ce qu’il en ressort : la porosité des îlots liée a la présence intrinsèque d’éol dans la roche fait qu’ils se comportent comme d’immenses filets a brouillard qui captent l’eau et créent une sorte de nappe phréatique de substitution. Le reste est expliqué par un cycle de l’eau standard.
Reste un problème de taille : l’activité volcanique rencontrée sur certains îlots. Là encore on suppose que l’éol est a l’origine du phénomène. Pour des raisons X ou Y une sorte de chambre se crée au cœur de certains îlots. Une chambre dans laquelle on ne trouve que de l’éol presque pur. Ce dernier ce comporterait comme le manteau et surtout devrait, de part sa vitesse, pouvoir élever la température des roches avoisinantes suffisamment pour qu’ai lieu les phénomènes observés.
Cette corrélation entre magma et éol semble confirmée par ce qui a pu être observé dans les "sources".